Éjectée d’un plan à trois

Oui. En un claquement de doigts, littéralement, je me suis tapée la honte de ma vie. Le pire, c’est que j’ai mis plus de dix secondes pour comprendre ce qu’on me demandait et qu’il a fallu le geste du menton vers la porte pour me rendre compte que j’étais congédiée.
Comment ai-je pu en arriver là?! Je me le demande. Le plus dur ça a été de les côtoyer après comme s’il ne s’était rien passé. Comme convenu.