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Pourquoi je n’ai pas honte d’être une femme fontaine ?

Femme fontaine.

« Je m’appelle Karen, j’ai 28 ans. Ma vie me plait et j’ai un mari qui me fait jouir comme personne avant lui.

Du plus loin que je m’en souvienne, le sexe a toujours été mon sport favori. Je ne me lasse jamais de tirer un bon coup et quand j’ai découvert que j’étais une femme fontaine, ma vie a changé. Mes plaisirs sont décuplés et je suis devenue une femme plus épanouie, plus sûre d’elle et plus heureuse.

J’avais dix-sept ans lorsque j’ai connu Nathan par l’intermédiaire d’un ami commun, lui, il en avait 21. À première vue, c’était quelqu’un de très calme, trop gentil et ne paraissait pas du tout un homme à femme. De ce fait, je n’aurais jamais imaginé que quelqu’un comme lui pouvait être un dieu au lit, qu’il aurait pu me faire jouir juste en murmurant quelques mots et surtout me faire jouir comme une fontaine.

Je n’ai pas toujours su ce que c’était qu’une femme fontaine mais prendre autant de plaisir me faisait tellement de bien que je me contentais de prendre mon pied sans me poser trop de questions. Je voulais seulement profiter de ces moments intenses et exceptionnels. Faire l’amour est devenu pour moi un rite sacré.

Pour moi Karen, avec mon mari, jouir est une fête. Meme un quickie a sa part de feu d’artifice et souvent, je pleure de bonheur et de plaisir après un orgasme. Il faut aussi dire que mon homme, il sait s’y prendre. Avec lui aucun gène, aucune honte. Juste du plaisir, du bonheur et des rires. Me regarder jouir de la sorte et se dire que c’est lui qui a provoqué ça suffit à le faire grimper aux rideaux et mes tours de reins ajoutés à cela le propulsent au septième ciel. Nathan adore que je l’inonde et moi encore plus.

Jouir de cette manière c’est tout simplement divin, je vous assure. Majestueux et colossal. Ça sort comme d’une vraie fontaine, ça éclabousse, ça inonde et quand ça vient c’est pareil à un tremblement de terre, ça se sent. Moi, je dis que de tels orgasmes, c’est sacré. Surtout quand ça arrive plusieurs fois par jour et partout dans la maison, dans la voiture ou au restaurant.

Pourtant, au tout début de mes éjaculations en jet d’eau, je paniquais un peu. Je me croyais anormale. J’avais un peu honte de mouiller ainsi les draps mais Nathan me rassurait tout en me caressant, tout en m’excitant, me stimulant l’entre-jambe et les seins, dessinant des arabesques sur mon ventre et mes cuisses. Il m’encourageait à me laisser aller, à lâcher prise et à ne penser à rien d’autre qu’à ce que je ressens, qu’à ce que je vis. Alors, j’ai appris à aimer cette particularité de moi et à en rire et je n’en suis que plus heureuse. Dès lors, je suis devenue une femme comblée, épanouie, bien dans sa peau ».

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Auteur·e

fednaperla

Commentaires

Chérubin JEROME
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Waw!
Mes félicitations Andeve.
Tu as bien décrit ce phénomène naturel, exceptionnel dont peu de femmes osent parler et que peu d'entr'elles ont déjà vécu.

Andeve
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Merci Chérubin Jérome. On en parle pour toutes celles qui n'osent pas :-)

Tanguy
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c'est marrant, ton article parait quelques jours après la sortie de ce documentaire sur les femmes fontaines au Rwandahttps://plus.lesoir.be/82136/article/2017-02-15/une-sexualite-heureuse-mene-un-pays-heureux

une coïncidence? je ne crois pas

Andeve
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Ah, c'est super alors. Merci du partage Tanguy :-)

Pat Rick
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Très interessant Andeve!

Andeve
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:-) Merci d'être passé Pat Rick.

Tomivic
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Bonjour Andeve,
Quand je te lis, je réalise d'avantage que j'ai bien fait d'investir qlqs petits 67€ pour apprendre à maîtriser l'art de donner du plaisir sexuel à une femme. Après 10 ans d'expériences sexuelles (17-27ans), j'ai réalisé que j'ignorais encore un tas de choses basiques.

Thierry-Robert
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Ma question serai de savoir si il y a aussi des femmes qui en ont honte ?

Bonnet Josué
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Tu as très bien parlé Andeve.